Francis Audiau, nouvellement ordonné prêtre en 1932, s'embarque à Marseille pour l'Inde. Il décrit dans ce livre ce long voyage de plus de trois semaines, les escales de Port Saïd, Djibouti, Aden, Colombo, Pondichéry, et enfin l'arrivée dans l'Inde, " cette autre planète ", par le port de Madras. Puis, c'est la découverte de la grande ville de Coimbatore, de la vaste plaine parsemée de cocotiers et de palmiers, de forêts sur les hauts plateaux et les merveilleux paysages des Montagnes bleues. Les quinze premières années de son apostolat, avant l'Indépendance de l'Inde, sont suivies de quinze autres années sous la souveraineté indienne, dans une vie quotidienne au milieu de la population hindoue, an milieu des pauvres des villages de la plaine, puis au sommet des Montagnes bleues, à Ootacamund, et enfin dans la ville de Mysore, capitale de l'Etat de Mysore et résidence du Maharadja. Dans ce pays de temples et de pagodes, d'ashrams et de castes variées, il est heureux de trouver de belles communautés chrétiennes, établies par de vaillants missionnaires. Elles lui servent de base pour l'annonce de l'Evangile, dans la pastorale rurale et urbaine, ou bien dans l'enseignement à divers degrés, même le degré universitaire. Il poursuit sa mission en Malaisie, pays de plantations de caoutchouc, de palmiers à huile et de mines d'étain, au milieu de musulmans malais, de Chinois et d'Indiens. A l'expiration de son visa, il doit rentrer en France, où il connaît la grande nostalgie de ces beaux pays d'Asie.
Francis Audiau, nouvellement ordonné prêtre en 1932, s'embarque à Marseille pour l'Inde. Il décrit dans ce livre ce long voyage de plus de trois semaines, les escales de Port Saïd, Djibouti, Aden, Colombo, Pondichéry, et enfin l'arrivée dans l'Inde, " cette autre planète ", par le port de Madras. Puis, c'est la découverte de la grande ville de Coimbatore, de la vaste plaine parsemée de cocotiers et de palmiers, de forêts sur les hauts plateaux et les merveilleux paysages des Montagnes bleues. Les quinze premières années de son apostolat, avant l'Indépendance de l'Inde, sont suivies de quinze autres années sous la souveraineté indienne, dans une vie quotidienne au milieu de la population hindoue, an milieu des pauvres des villages de la plaine, puis au sommet des Montagnes bleues, à Ootacamund, et enfin dans la ville de Mysore, capitale de l'Etat de Mysore et résidence du Maharadja. Dans ce pays de temples et de pagodes, d'ashrams et de castes variées, il est heureux de trouver de belles communautés chrétiennes, établies par de vaillants missionnaires. Elles lui servent de base pour l'annonce de l'Evangile, dans la pastorale rurale et urbaine, ou bien dans l'enseignement à divers degrés, même le degré universitaire. Il poursuit sa mission en Malaisie, pays de plantations de caoutchouc, de palmiers à huile et de mines d'étain, au milieu de musulmans malais, de Chinois et d'Indiens. A l'expiration de son visa, il doit rentrer en France, où il connaît la grande nostalgie de ces beaux pays d'Asie.