Parce qu'il n'entendait plus, René-Jean Anderson, se mit, un jour, à écrire. Pendant plusieurs années, il a tenu une chronique mensuelle dans un petit journal du monde de la surdité. Une chronique qui s'appelait "Style libre". Un jour, il rassembla une partie de ses écrits et en fit un recueil qu'il appela "le Stylibroscope". Une série de textes courts, drôles, philosophiques, mécontents, rebelles, fatalistes...
Parce qu'il n'entendait plus, René-Jean Anderson, se mit, un jour, à écrire. Pendant plusieurs années, il a tenu une chronique mensuelle dans un petit journal du monde de la surdité. Une chronique qui s'appelait "Style libre". Un jour, il rassembla une partie de ses écrits et en fit un recueil qu'il appela "le Stylibroscope". Une série de textes courts, drôles, philosophiques, mécontents, rebelles, fatalistes...
Parce qu'il n'entendait plus, René-Jean Anderson, se mit, un jour, à écrire. Pendant plusieurs années, il a tenu une chronique mensuelle dans un petit journal du monde de la surdité. Une chronique qui s'appelait "Style libre". Un jour, il rassembla une partie de ses écrits et en fit un recueil qu'il appela "le Stylibroscope". Une série de textes courts, drôles, philosophiques, mécontents, rebelles, fatalistes...
Parce qu'il n'entendait plus, René-Jean Anderson, se mit, un jour, à écrire. Pendant plusieurs années, il a tenu une chronique mensuelle dans un petit journal du monde de la surdité. Une chronique qui s'appelait "Style libre". Un jour, il rassembla une partie de ses écrits et en fit un recueil qu'il appela "le Stylibroscope". Une série de textes courts, drôles, philosophiques, mécontents, rebelles, fatalistes...