Tout ce que l'Homme a de meilleur : sa vie amoureuse, sociale, professionnelle, nous est décrit ici empesé, alourdi par cette maladie rare et peu connue qui affecte le personnage : une narcolepsie. La semaine, il vit dehors, du mieux qu'il peut. Le dimanche, dans son cloître, il s'abandonne à sa maladie. La force résolument poétique du récit, oscillant entre première et troisième personne, rend compte de ce balancement entre le dedans et le dehors, entre l'intimité avec les effets de sa maladie, et les rêves d'une vie normale.
Tout ce que l'Homme a de meilleur : sa vie amoureuse, sociale, professionnelle, nous est décrit ici empesé, alourdi par cette maladie rare et peu connue qui affecte le personnage : une narcolepsie. La semaine, il vit dehors, du mieux qu'il peut. Le dimanche, dans son cloître, il s'abandonne à sa maladie. La force résolument poétique du récit, oscillant entre première et troisième personne, rend compte de ce balancement entre le dedans et le dehors, entre l'intimité avec les effets de sa maladie, et les rêves d'une vie normale.