L'être se présente comme une valeur fondamentale du réel et de la connaissance. Quant à l'unité, elle est évidemment relation à l'être. Pas d'être sans unité, pas d'unité sans être. D'où cette conséquence majeure que rien n'est intelligible, ontologiquement parlant, sans l'unité. L'exigence de la vérité, moteur de la recherche, demeure, mais c'est l'unité qui s'érige, par sa certitude et son universalité, en principe inconditionné.
L'être se présente comme une valeur fondamentale du réel et de la connaissance. Quant à l'unité, elle est évidemment relation à l'être. Pas d'être sans unité, pas d'unité sans être. D'où cette conséquence majeure que rien n'est intelligible, ontologiquement parlant, sans l'unité. L'exigence de la vérité, moteur de la recherche, demeure, mais c'est l'unité qui s'érige, par sa certitude et son universalité, en principe inconditionné.