Je suis l'appel de ton souffle... J'ai peur. Tu enflammes en moi la pluie. Ma fraîcheur s'incline sur le sable, je veux m'enfoncer dans ta tyrannie... Comment peindre ta bouche sur ma langue qui brûle ? Tu as épuisé mes souvenirs, mon bien aimé, et le rire et le corps... Je suis une fleur, que d'autres ont cru cueillir, et elle n'a fait que se plier comme la vengeance, comme l'attente. J'ouvre ma porte ne t'arrête pas.
Je suis l'appel de ton souffle... J'ai peur. Tu enflammes en moi la pluie. Ma fraîcheur s'incline sur le sable, je veux m'enfoncer dans ta tyrannie... Comment peindre ta bouche sur ma langue qui brûle ? Tu as épuisé mes souvenirs, mon bien aimé, et le rire et le corps... Je suis une fleur, que d'autres ont cru cueillir, et elle n'a fait que se plier comme la vengeance, comme l'attente. J'ouvre ma porte ne t'arrête pas.
Je suis l'appel de ton souffle... J'ai peur. Tu enflammes en moi la pluie. Ma fraîcheur s'incline sur le sable, je veux m'enfoncer dans ta tyrannie... Comment peindre ta bouche sur ma langue qui brûle ? Tu as épuisé mes souvenirs, mon bien aimé, et le rire et le corps... Je suis une fleur, que d'autres ont cru cueillir, et elle n'a fait que se plier comme la vengeance, comme l'attente. J'ouvre ma porte ne t'arrête pas.
Je suis l'appel de ton souffle... J'ai peur. Tu enflammes en moi la pluie. Ma fraîcheur s'incline sur le sable, je veux m'enfoncer dans ta tyrannie... Comment peindre ta bouche sur ma langue qui brûle ? Tu as épuisé mes souvenirs, mon bien aimé, et le rire et le corps... Je suis une fleur, que d'autres ont cru cueillir, et elle n'a fait que se plier comme la vengeance, comme l'attente. J'ouvre ma porte ne t'arrête pas.