Qu’ont en commun la carrière politique de René Levesque, le boulevard Saint-Laurent, la galeriste Max Stern et la littérature yiddish montréalaise ? Tous ces thèmes sont l’occasion de découvrir et de mieux connaître l’identité juive au Québec telle qu’elle est apparue au cours du XXe siècle, à la faveur de différent contextes culturels et historiques. Dans cet ouvrage, Pierre Anctil propose douze études menées à partir d’un nouveau paradigme situé d’emblée à l’intérieur des études québécoise. Délaissant les analyses traditionnelles sur l’antisémitisme et les rapports entre Juifs et francophone, Pierre Anctil avance un parcours où l’étude des Juifs québécois est un sujet autonome possédant une valeur en soi. On voit ainsi se distinguer des lieux d’expression et des domaines d’action au Québec où les juifs ont contribué de manière exceptionnelle à l’avancement de la société et ont dégagé des trajectoires originales. Ces travaux récents ouvrent la voie à des réflexions nouvelles sur l’apport juif à la québécitude et sur la complexité d’une identité québécoise conjuguée de multiples manières.
Qu’ont en commun la carrière politique de René Levesque, le boulevard Saint-Laurent, la galeriste Max Stern et la littérature yiddish montréalaise ? Tous ces thèmes sont l’occasion de découvrir et de mieux connaître l’identité juive au Québec telle qu’elle est apparue au cours du XXe siècle, à la faveur de différent contextes culturels et historiques. Dans cet ouvrage, Pierre Anctil propose douze études menées à partir d’un nouveau paradigme situé d’emblée à l’intérieur des études québécoise. Délaissant les analyses traditionnelles sur l’antisémitisme et les rapports entre Juifs et francophone, Pierre Anctil avance un parcours où l’étude des Juifs québécois est un sujet autonome possédant une valeur en soi. On voit ainsi se distinguer des lieux d’expression et des domaines d’action au Québec où les juifs ont contribué de manière exceptionnelle à l’avancement de la société et ont dégagé des trajectoires originales. Ces travaux récents ouvrent la voie à des réflexions nouvelles sur l’apport juif à la québécitude et sur la complexité d’une identité québécoise conjuguée de multiples manières.