Georges Solovieff est né à Berlin en 1921 dans une famille russe en exil et y a vécu jusqu’en 1931. Les souvenirs qu’il nous livre ici sont ceux d’un enfant durant la République de Weimar : on suit le garçon à l’école primaire et au lycée français ; on le voit évoluer avec ses camarades dans les allées luxuriantes du Tiergarten et prêter l’oreille aux rumeurs et aux échos de la grande ville, ébloui par les multiples lumières ; on le sent prendre conscience d’un monde foisonnant, brillant mais aussi tentaculaire, où bientôt la peste brune va déferler à la faveur de la crise économique.
Georges Solovieff est né à Berlin en 1921 dans une famille russe en exil et y a vécu jusqu’en 1931. Les souvenirs qu’il nous livre ici sont ceux d’un enfant durant la République de Weimar : on suit le garçon à l’école primaire et au lycée français ; on le voit évoluer avec ses camarades dans les allées luxuriantes du Tiergarten et prêter l’oreille aux rumeurs et aux échos de la grande ville, ébloui par les multiples lumières ; on le sent prendre conscience d’un monde foisonnant, brillant mais aussi tentaculaire, où bientôt la peste brune va déferler à la faveur de la crise économique.