Je me suis longtemps demandé s'il existait une poésie féminine spécifique. En lisant ce très beau recueil de Maria Zaki, je persiste à me poser la même question. Mais, penserais-je de la sorte, parce que chez elle, prévalent retenue, pondération et pudeur ? Non, car les poétesses arabes contemporaines font preuve d'une audace qu'on ne pouvait pas soupçonner. " Enfin je le regarde / Sans cacher mon désir / Sans détourner les yeux / Ni clore les paupières / Sur un autre que lui ! ". Abdelmajid Benjelloun.
Je me suis longtemps demandé s'il existait une poésie féminine spécifique. En lisant ce très beau recueil de Maria Zaki, je persiste à me poser la même question. Mais, penserais-je de la sorte, parce que chez elle, prévalent retenue, pondération et pudeur ? Non, car les poétesses arabes contemporaines font preuve d'une audace qu'on ne pouvait pas soupçonner. " Enfin je le regarde / Sans cacher mon désir / Sans détourner les yeux / Ni clore les paupières / Sur un autre que lui ! ". Abdelmajid Benjelloun.
Je me suis longtemps demandé s'il existait une poésie féminine spécifique. En lisant ce très beau recueil de Maria Zaki, je persiste à me poser la même question. Mais, penserais-je de la sorte, parce que chez elle, prévalent retenue, pondération et pudeur ? Non, car les poétesses arabes contemporaines font preuve d'une audace qu'on ne pouvait pas soupçonner. " Enfin je le regarde / Sans cacher mon désir / Sans détourner les yeux / Ni clore les paupières / Sur un autre que lui ! ". Abdelmajid Benjelloun.
Je me suis longtemps demandé s'il existait une poésie féminine spécifique. En lisant ce très beau recueil de Maria Zaki, je persiste à me poser la même question. Mais, penserais-je de la sorte, parce que chez elle, prévalent retenue, pondération et pudeur ? Non, car les poétesses arabes contemporaines font preuve d'une audace qu'on ne pouvait pas soupçonner. " Enfin je le regarde / Sans cacher mon désir / Sans détourner les yeux / Ni clore les paupières / Sur un autre que lui ! ". Abdelmajid Benjelloun.