Si tu croisais Vincent Garbo dans la rue, tu verrais d'abord un blond d'une vingtaine d'années et tu le trouverais beau. Mais s'il te regardait de ses yeux noirs, tu ressentirais sûrement un malaise d'ailleurs justifié : ce gars-là n'est pas loin de dégainer un flingue et de tirer dans le tas. On en voit pas mal de par le monde, ces temps-ci, qui font ça, qui dégainent et qui tirent, sans scrupules, et sans aucun mobile apparent. Si tu veux mon avis, on en verra d'autres. Toi, dans ce tas qui environne Vincent Garbo, estime-toi plutôt chanceux : il n'a d'armes que des mots.
Si tu croisais Vincent Garbo dans la rue, tu verrais d'abord un blond d'une vingtaine d'années et tu le trouverais beau. Mais s'il te regardait de ses yeux noirs, tu ressentirais sûrement un malaise d'ailleurs justifié : ce gars-là n'est pas loin de dégainer un flingue et de tirer dans le tas. On en voit pas mal de par le monde, ces temps-ci, qui font ça, qui dégainent et qui tirent, sans scrupules, et sans aucun mobile apparent. Si tu veux mon avis, on en verra d'autres. Toi, dans ce tas qui environne Vincent Garbo, estime-toi plutôt chanceux : il n'a d'armes que des mots.